" (...) Some members of the French press — apparently yearning for Regie-style videographers, wheelchairs and onstage urination — criticized Pierre-Emmanuel Rousseau's production for not breaking "new" ground. Such treatment seems to me of dubious value in helping an audience understand and assess a long un-staged opera. Rousseau plays it fairly conservatively, with brightly stylized late-eighteenth-century costumes (the heroines in sorbet-colored gowns) by the director and Claudine Crauland and imaginatively detailed flats by Thibault Welchlin ( …) The Versailles audience is duly appreciative at curtain calls, greeting the singers and production team with rhythmic applause. One imagines L'Amant Jaloux could arouse similar enthusiasm in North America if well performed under festival conditions. (...) "
juin 2011
Opera
" (...) Another outstanding DVD from Paris, with first-rate picture and sound quality, and as instructive and it is entertaining. (…) It enjoys straightforward direction in period decor. (…) Conducting and playing are more than just good, and the cast is excellent, both vocally and in the spoken dialogue, delivered with spirit and point (…) "
mars 2011
Classiquenews.com
" (...) L'Amant jaloux (1778) dévoile ici ses atours autant musicaux que visuels... grâce à une production qui fait la part belle au chant comme au théâtre (…) Production majeure, jalon de la résurrection du compositeur français (...) "
mars 2011
Opéra-magazine
Critique du DVD, 4 étoiles :
" (...) Nous avions trouvé le travail de Pierre-Emmanuel Rousseau, le metteur en scène, particulièrement scrupuleux et réussi (...) Le passage à l'écran est heureux: vu en gros plan, le spectacle ne perd rien de son charme. La réalisation de Martin Fraudreau reste certes classique (...), mais elle permet de mieux percevoir la vivacité du jeu des chanteurs, tous très bien dirigés (...) ".
février 2011
Le Monde
" (...) Les toiles peintes en trompe-l'oeil, les costumes du temps, un orchestre jouant sur instruments anciens avec un même souci du style que les chanteurs, confèrent au spectacle une unité de ton et une éloquence irrésistibles. La mise en scène de Pierre-Emmanuel Rousseau, vive, bien réglée, colle à l'action comme à la musique avec une intelligence constante (...) "
06 juin 2010
Le Figaro
" (...) Voici le chef en phase avec la mise en scène de Pierre-Emmanuel Rousseau, qui ressuscite l'opéra à machines avec élégance (...) "
18 mars 2010
Classiqueinfo.com
" (...) D'abord, il faut saluer la rigueur et l'intelligence de cette production: que ce soit du point de vue musical ou scénique, tout est soigné. (...) C'est ce qui correspond le mieux à cette mise en scène peut-être: la fraîcheur et la vivacité! (...) Cette production de l'oeuvre de Gretry est donc un vrai succès, saluée à la fin par une ovation de toute la salle bien méritée (...) "
mars 2010
ForumOpera
" (...) La mise en scène de Pierre-Emmanuel Rousseau est à saluer (...) Poétique et raffinée, sa direction met en valeur tous les aspects de cet Amant Jaloux (...) Les costumes, raffinés et dans l'esprit du XVIIIème siècle, se doublent d'allusions contemporaines: des tulles modernes et superbes qui se marient admirablement avec les étoffes classiques (...) "
mars 2010
OperaNews
" (...)Running for less than ninety minutes, this magical 1778 entertainment was performed without an interval and made a spirited defense of Gretry's work. Rousseau's production was classical and discreetly well timed, proving that dialogue in a comic opera can add to the success of an evening rather than being a dead weight - if it is deployed with pace and style (...) "
mars 2010
Operapoint
" (...) Wir sahen die authentische Wiedergabe einer der köstlichsten Komödien, die zu spielen sich anbietet, (...). Das Publikum war davon jedenfalls an diesem Abend hingerissen "
janvier 2010
Opéra-magazine
" (...) D'un point de vue esthétique, c'est très réussi, et la représentation est un enchantement visuel de chaque instant (...) "
janvier 2010
Diapason
" (...) Les costumes de Pierre-Emmanuel Rousseau et Claudine Crauland revisitent avec esprit le XVIIIe siècle. (...) Les toiles sont magnifiques dans leur simplicité et réveillent la magie d'une conception théâtrale fondée en partie sur l'illusion (...) "